Carla Bruni: "Si ce n'est pas possible biologiquement, j'adopterai un enfant"

Publié le par N0N4M3

Pour Le Post, voici des extraits du Figaro Madame qui paraît samedi et dans lequel l'épouse du Président se confie sur sa vie privée.

J'ai pu lire l'entretien exclusif accordée par la première dame à ma consoeur Anne-Florence Schmitt du Figaro Madame, qui a suivi l'épouse de Nicolas Sarkozy le 10 février dernier, lors de son voyage au Burkina Faso.

C'est tout le déplacement de Carla Bruni-Sarkozy au Burkina Faso qui est raconté en détail, avant de laisser place à une interview de l'ambassadrice du fonds mondial de lutte contre le sida.

Morceaux choisis et extraits du Figaro Madame à l'appui.


Voici la première page de l'entretien :



1 - Un second enfant?

Quand on lui demande si le temps est venu pour elle d'un second enfant, à 41 ans, l'ancienne top-modèle, devenue première dame de France, répond: "J'aimerais bien, mais je ne sais pas si mon âge me le permettra".

"Si ce n'est pas possible biologiquement, j'en adopterai un", ajoute-t-elle. Selon elle, "être la maman de quelqu'un, c'est tous les jours, pas seulement les neuf premiers mois, et cela dure toute la vie".
"En cela", ajoute-t-elle, "l'adoption est peut-être la forme la plus pure de la maternité. Donc j'adorerais avoir un enfant, mais je ne vais pas me battre contre la nature".

Elle rappelle qu'elle en a déjà un et son mari trois: "on ne peut pas dire que nous soyons dans la nécessité d'enfants"...


2 - Sa fondation:

L'épouse du Président a réaffirmé son souhait de créer une fondation à vocation culturelle qui "portera son nom". "J'espère m'en occuper au-delà du mandat de mon mari", précise-t-elle.

Une fondation dont la vocation principale sera de développer l'éducation, la lecture, la culture. "Car les inégalités dans ces domaines commencent dès le CP (cours préparatoire). Je ne peux pas faire grand-chose contre l'économie défaillante: je ne fais pas partie du gouvernement et je ne suis que l'épouse de mon mari. Mais je peux soutenir les associations existantes qui font un travail formidable", dit-elle.

3 - Un an à l'Elysée:

Carla Bruni-Sarkozy revient dans cet entretien sur ce qui a changé sa vie après un an passé à l'Elysée. Elle évoque "une année d'apprentissage" et souligne par ailleurs que son métier d'auteur-compositeur-interprète "ne fait de tort à personne". En revanche, elle ne "fera plus de promotion tant que (son) mari occupera ce poste".

4 - Carla pas très geek, fan de You Tube mais pas de Daniel Craig:

"Je ne suis pas très brillante face à un ordinateur", avoue-t-elle, racontant notamment qu'elle "met quarante minutes pour taper 'Merci pour ton message'". Par contre, elle confie "l'utiliser pour les e-mails et pour YouTube", dont elle est "une fan acharnée".

Elle s'adonne également à une comparaison des différents James Bond dans le Falcon qui conduisait la première dame à Ouagadougou, et elle conclut: "Daniel Craig n'égalera jamais Sean Connery".




Entretien d'Anne-Florence Schmitt à lire ce samedi dans Le Figaro Madame


Geoffrey La Rocca


(Sources: Le Post, Le Figaro Madame)


Polemike le 05/03 à 08h32
Le Transfert Symbolique, un effet de psychologie sociale, pour comprendre comment et pourquoi Carla Bruni prend une place si importante sur la scène médiatique.


-"Tout à fait, rappelles toi des célébrités invités à célébrer la victoire du président : Doc Gyneco, Bigard, Christian Clavier, Jean Reno et beaucoup d'autres. Il s'agit d'un mécanisme de transfert symbolique révélé par Donald Carlston et Lynda Mae.

Ces deux psychologues, dans leur expérience, distribuent aux volontaires des photographies d'individus posant à coté d'objets/symboles variés. La photographie du premier individu par exemple comporte une rose, la seconde une paire de baskets.
Puis les volontaires sont interrogés sur la perception qu'ils ont des individus présent sur les photographies au moyen d'un questionnaire.
L'individu posant à coté d'une rose est considéré comme romantique, celui aux baskets est considéré comme sportif etc ...

En réalité, nous jugeons les individus selon le contexte dans lequel ils évoluent.
Nous sommes donc sensibles aux symboles qu'ils arborent ou desquels ils sont proches, de même manière que nous sommes sensible aux réactions du journaliste.
Le président, en arborant sa femme Carla Bruni, met en avant sa politique internationale, de même manière qu'il met en avant son coté franc et simple en allant au salon de l'agriculture ou de son coté sportif avec des chaussures de sport ou son coté proche du peuple lorsqu'il arbore un jean.


http://polemike.free.fr/index.php?topic=100.0
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